Zoom sur les bières niçoises !

 

Un post curieux me direz-vous. Je ne suis pas un amateur de bières même s’il m’arrive d’en boire une de temps en temps au Pastrouil ou chez Wayne’s devant un match de football.

Mais j’en parle pour signaler l’initiative de 8 entreprises de bières artisanales qui ont décidé d’organiser la première Oktober Fest locale programmée les 5 et 6.octobre prochains au jardin Albert 1er.

Ils se sont regroupés en une fédération « Les Brasseurs indépendants des Alpes-Maritimes (BIAM).

OBJECTIF : faire connaître les bières azuréennes face aux géants du secteur. Cette démarche mérite d’être encouragée car elle est intéressante au niveau économique et commercial.

Permaculture, jardins pédagogiques : multiplier les initiatives

 

De plus en plus de niçois se mobilisent sur ce qui n’est pas un retour en arrière mais un choix d’avenir.

Des expériences de permaculture comme celle de Pessicart menée par l’association Shilakong.

Les jardins pédagogiques se développent comme aux Tripodes à l’Ariane, où dans les Jardins de l’évêché avec l’association APPESE.

Il y a également le jardin pédagogique du comité de quartier de Saint Roch animé par Jeanine Costamagna et André Minetto.

L’intérêt principal, outre celui de démontrer que le retour de l’agriculture vivrière est possible en milieu urbain, est le travail de sensibilisation qui s’effectue au cours des écoles primaires.

Le temps de transformer de belles initiatives individuelles en politique publique s’appuyant sur les associatifs destinée à toute notre jeunesse est venu. C’est ce que nous proposerons aux niçois le moment venu.

Le marché aux fleurs : A défendre absolument

 

Une fois n’est pas coutume, l’actualité politique étant occupée par les réactions à l’ intervention du président de la République j’offre à votre regard cette photo du marché aux fleurs prises dans les années 1930.

Comme vous pouvez le constater, le marché commence rue Saint François de Paule devant l’actuelle mairie, devant l’opéra de Nice dont on remarque les colonnes et il se poursuit vers le cours Saleya.

Il faut bien avoir en tête que dans ces années là, le marché aux fleurs de Nice est l’un des plus importants du monde.

Nos collines regorgent de serres et de fleurs et la spéculation immobilière qui a atteint son paroxysme dans les années 1965 à 1980 n’a pas encore frappé. On cultive encore l’œillet en grande quantité et la production s’exporte à partir du MIN Fleurs, aujourd’hui totalement sur dimensionné pour les quelques producteurs qui survivent.

Immanquablement cela a des conséquences sur le marché aux fleurs du Cours Saleya qui perpétue plus une histoire qu’une réalité économique. C’est pour cela que j’ai toujours soutenu les fleuristes dans le projet de restructuration qui faisait initialement la part trop belle aux terrasses des restaurants.

Nous ne reverrons plus le marché aux fleurs des années 30, tout évolue et il ne faut pas regarder dans le rétroviseur mais devant nous.

Le jour où le Cours Saleya verra disparaître ses fleuristes, les terrasses des restaurants seront moins pleines.

Il appartient à notre génération de sauver ce marché. Ce n’est ni de la démagogie, ni du sentimentalisme mais simplement une volonté de préserver cet écrin pour que la fleur ne disparaisse pas après avoir tant compté pour notre économie et qui demeure un pôle touristique important pour Nice.

Le marché aux fleurs : A défendre absolument

 

Une fois n’est pas coutume, l’actualité politique étant occupée par les réactions à l’ intervention du président de la République j’offre à votre regard cette photo du marché aux fleurs prises dans les années 1930.

Comme vous pouvez le constater, le marché commence rue Saint François de Paule devant l’actuelle mairie, devant l’opéra de Nice dont on remarque les colonnes et il se poursuit vers le cours Saleya.

Il faut bien avoir en tête que dans ces années là, le marché aux fleurs de Nice est l’un des plus importants du monde.

Nos collines regorgent de serres et de fleurs et la spéculation immobilière qui a atteint son paroxysme dans les années 1965 à 1980 n’a pas encore frappé. On cultive encore l’œillet en grande quantité et la production s’exporte à partir du MIN Fleurs, aujourd’hui totalement sur dimensionné pour les quelques producteurs qui survivent.

Immanquablement cela a des conséquences sur le marché aux fleurs du Cours Saleya qui perpétue plus une histoire qu’une réalité économique. C’est pour cela que j’ai toujours soutenu les fleuristes dans le projet de restructuration qui faisait initialement la part trop belle aux terrasses des restaurants.

Nous ne reverrons plus le marché aux fleurs des années 30, tout évolue et il ne faut pas regarder dans le rétroviseur mais devant nous.

Le jour où le Cours Saleya verra disparaître ses fleuristes, les terrasses des restaurants seront moins pleines.

Il appartient à notre génération de sauver ce marché. Ce n’est ni de la démagogie, ni du sentimentalisme mais simplement une volonté de préserver cet écrin pour que la fleur ne disparaisse pas après avoir tant compté pour notre économie et qui demeure un pôle touristique important pour Nice.

Dick Rivers est mort!

 

Avec lui disparaît un fils de Nice qui a musicalement marqué son époque, le jour de son anniversaire.

Dick Rivers a connu des hauts et des bas dans sa carrière mais tel le Sphinx il savait renaître de ses cendres au moment où l’on s’y attendait le moins et il nous laisse pas moins de 33 albums.

C’était notre rocker, à nous les niçois, depuis le commencement de sa carrière avec son groupe les chats sauvages, puis tout au long de sa carrière solo.

Ce matin c’est toute une génération de niçois qui est choquée par cette triste nouvelle. Celle de mes parents.

Ceux qui l’ont connu se souviennent de la boucherie de son père, rue droite, dans le Vieux Nice où l’on croisait de temps en temps sa silhouette.

Ils se souviennent de la place Garibaldi, de la rue de la République où habitaient ses parents. Ils se souviennent de son look, avec cette banane qui lui donnait un faux air d’Elvis mais un air authentiquement rock.

C’est donc avant tout un niçois qui nous manquera et manquera à ses proches.

RIP