Pour la gratuité du carnaval de Nice pour les Niçois !

 

Les Niçois sont sincèrement attachés à leur carnaval. Un carnaval populaire, festif, ouvert à tous, que l’on soit habitant des quartiers est, nord, ouest ou de centre. Famille, amis, voisins, tous se retrouvaient, déguisés, maquillés, pour faire la fête ensemble. Les chars des quartiers se mêlaient à ceux du carnaval officiel.

Le seul pré-requis, venir simplement avec sa bonne humeur pour faire la fête. Partager carnaval est un facteur de cohésion sociale.

Malheureusement, aujourd’hui, les Niçois désertent de plus en plus le carnaval qui n’est plus leur carnaval mais le carnaval des touristes.

Cette coupure est un véritable danger pour le carnaval lui-même qui doit pourtant conserver ses racines, faute de quoi, il deviendra un produit de plus en plus superficiel.

C’est pourquoi, il est primordial que les Niçois se le réapproprient et que ceux, qui venus du monde entier pour habiter à Nice, le découvrent dans son authenticité.

Tout habitant de Nice, sur présentation du justificatif de domicile, peut bénéficier d’une carte Pass Musée donnant l’accès gratuit à tous les musées municipaux.

Le carnaval étant un apport culturel indéniable pour Nice, cette pétition demande que la présentation de la carte Pass Musée, au moment du contrôle, puisse donner à son possesseur l’accès gratuit aux promenoirs du Carnaval de Nice. C’est un système très simple à mettre en place.

Je signe donc pour que la carte Pass Musée donne l’accès gratuit aux promenoirs du carnaval de Nice et je vous invite à faire de même afin que l’argent ne soit pas un obstacle à cette fête qui fait la fierté de Nice.

Partagez massivement.

Déluge de couleurs et de lumières sur le roi du Cinéma !

 

Fêter Carnaval dans les promenoirs au milieu des niçois, et il en reste, est pour moi un plaisir renouvelé chaque année.

Assistance moyenne hier soir sur le promenoir de la promenade des Anglais il est vrai réputé pour des températures rudes en cette période. Nous tirerons le bilan avec les hôteliers, les restaurateurs et limonadiers une fois le rideau fermé.

Février est un mois très important pour l’économie locale.

Je reviendrai ultérieurement sur des points soumis à discussion. Ce post est juste pour le plaisir des yeux : une petite sélection de photos.

Les carnavals de quartier.

 

Tantôt sur une place collé à Saint Roch, tantôt dans un jardin comme à l’Ariane ou dans une cour d’école comme cet après midi à Bon Voyage, les carnavals de quartier tentent de résister, eux qui, il y a quelques années déambulant dans les quartier de Pasteur, Roquebillière etc.

Ces carnavals permettent de perpétuer une tradition importante pour l’identité niçoise mais ce ne sont plus de vrais carnavals. Il faut patienter en attendant le grand changement de 2020 pour qu’à nouveau carnaval rime avec quartiers populaires. Rien ne justifie ces parquages si ce n’est le manque de volonté politique qui ne permet pas de donner les moyens nécessaires pour la sécurisation de ces petits événements et c’est regrettable.

Le nouvel an Chinois !

L’actualité politique étant plutôt creuse excepté la présentation du nouveau schéma des transports qui nécessite une étude plus approfondie, je vous amène au Nouvel an chinois.

Cela se passait hier soir au palais de la Méditerranée et tous les aspects de la culture chinoise ont été mis en valeur : musique, chanson, danse, arts martiaux. (voir photos)

La communauté chinoise compte aujourd’hui plus de 4 000 ressortissants sur Nice dont 1000 étudiants et son influence ira grandissante sur notre ville. Le président de L’OGC Nice n’est-il pas un chinois ? Le carnaval de Nice ne s’exporte-t-il pas en Chine ?

Allez voir Green Book !

 

Sur les routes du sud ou Le livre de Green au Québec est un film américain réalisé par Peter Farrelly, sorti en 2018.

Il s’agit d’un film tiré d’une histoire vraie. Ce film raconte une tournée réalisée dans les États du Sud en 1962 par le pianiste noir Don Shirley et son chauffeur et garde du corps blanc Tony Lip. C’est l’histoire d’un racisme ordinaire envers les noirs il y a 55 ans dans l’Amérique profonde. Certaines scènes sont particulièrement choquantes mais tout est traité avec une sorte de délicatesse et juste la dose d’humour requise pour pouvoir supporter ce véritable apartheid.

Un petit chef d’œuvre !