Cette 20ème semaine ne se serait peut être jamais déroulée sans Pedro Da Nobrega. Je n’ai absolument pas été élevé dans le culte de l’homme providentiel mais il faut reconnaître qu’il a su construire puis s’appuyer sur une équipe, qui, malgré les restrictions budgétaires, place chaque année l’objectif un peu plus haut.
C’était le cas au collège international Vernier dont je salue le principal, Michel Maffoni, pour l’ouverture. A cette occasion, il n a pas été oublié de rappeler la présence au sein de l’établissement de la section internationale de Portugais.
Au niveau cinéma, j’ai retenu deux films : l’usine de rien de Pedro Pinto et les lettres de guerre d’Ivo M.Ferreira.
Félicitations aux enseignants de Bernier qui avaient préparé le spectacle et au groupe folklorique venu rajouter une touche supplémentaire.