Appel aux chefs d’entreprise et aux dirigeants de sociétés de service

De nombreux jeunes ayant un niveau CAP, un niveau BTS, et même un niveau Master sont en situation difficile cette année parce qu’ils ne parviennent pas à trouver une entreprise acceptant de les accueillir pour un stage, ou pour préparer leur diplôme par le biais d’un contrat en alternance.
Cela peut mettre la validation de leur diplôme en péril et leur faire perdre une année. Qu’un jeune perde une année parce qu’il n’est pas investi dans ses études est un compte, qu’il la perde parce ne peut pas avoir accès à un stage qui fait partie intégrante de son cursus de formation n’est pas acceptable.
La peur du Covid n’est pas étrangère à l’aggravation de cette difficulté identifiée depuis des années mais qui atteint là un seuil insupportable pour les jeunes étudiants, mais aussi pour leurs familles, investies mais impuissantes, qui se tournent vers les élus, les responsables politiques, qui n’ont pas de réponses.
Depuis des mois, on nous répète que les jeunes sont ceux qui vont pâtir le plus de cette pandémie. En voilà un exemple concret auquel nous ne pouvons nous résoudre. @UPE06 @ccicotedazur @MetropoleNCA

Visite de quartier hier en fin d’après midi avec René Clausse rue Trachel et rue Vernier.

 

L’occasion d’échanger avec plusieurs commerçants, de parler des questions de sécurité au poste de police municipale.

Et un arrêt bien sûr à l’association Trait d’union présidée par Naima Ben Aouissi qui ne désemplissait pas hier mercredi, jour de soutien scolaire.

On insistera jamais assez sur le rôle de ces associations de quartier qui viennent en appui pour aider les primo-arrivants, les élèves en difficultés. 45 bénévoles se succèdent pour accomplir cette tâche et aider des enfants qui viennent en majorité de l’école Thérèse Roméo, mais également des écoles Ronchèse, Auber, Mantéga et Fuon Cauda.

Les équipements scolaires ne sont pas à la hauteur !

 

A 2 reprises, les 17 septembre et 3 décembre 2019, j’avais saisi l’adjoint délégué à l’Education, Jean-Marc GIAUME, pour obtenir un audit des établissements scolaires portant notamment sur l’isolation et le diagnostic thermique.
En effet, de nombreux parents d’élèves avaient attiré mon attention sur la vulnérabilité de certains établissements scolaires aux variations de températures, allant jusqu’à nécessiter des chauffages d’appoint l’hiver et le retrait de l’école des enfants dans les situations de grosses chaleurs. C’était par exemple le cas pour l’école de Nice Flore.
Le 16 décembre 2019, malgré une relance adressée le 3 décembre, je n’avais reçu aucune réponse de la mairie. C’est pour cette raison que j’avais envoyé un communiqué à la presse à la même date.
Finalement, l’adjoint au maire, délégué à l’Education, m’a finalement répondu par un courrier du 18 décembre 2019 que vous trouverez ci-dessous.
Cette réponse vient confirmer que la ville de Nice n’a pas engagé suffisamment de moyens pour ses écoles.
Dans notre projet pour Nice 2020, nous ferons des propositions concrètes pour nos écoles et nos pitchouns. Rejoignez #NiceAuCoeur

Audit des établissements scolaires : mutisme de la mairie

 

A deux reprises, les 17 septembre et 3 décembre 2019, le groupe « Un Autre Avenir pour Nice » a saisi l’adjoint délégué à l’Éducation, Jean-Marc GIAUME, pour obtenir un audit des établissements scolaires portant notamment sur l’isolation et le diagnostic thermique.

En effet, les parents d’élèves attirent notre attention sur la vulnérabilité de certains établissements scolaires (Nice Flore par exemple) aux variations de températures, allant jusqu’à nécessiter des chauffages d’appoint l’hiver et le retrait de l’école des enfants dans les situations de grosses chaleurs.

A ce jour et malgré une relance en date du 3 décembre, il n’y a aucune réponse de la mairie.

La génération connectée et déconnectée

 

Cette réflexion m’est venue ce week-end sur les marchés où j’étais à la rencontre des citoyens, place Saint Roch et place Garibaldi.

J’ai pu observer attentivement notre comportement ( je m’y inclus car j’ai conscience, parfois, de ne pas y échapper).

Il devient de plus en plus difficile d’avoir un échange spontané avec les citoyens 2.0 en dehors de l ‘organisation d’ une réunion bien identifiée.

La faute au smartphone avec lequel on téléphone ou on écoute de la musique en marchant, écouteurs dans les oreilles. Vous dites bonjour, ils ne voient pas, ne répondent pas, non par impolitesse ou mépris, mais tout simplement parce qu’ils sont dans leur bulle et n’entendent pas.

C’est ce qui les conduit également à traverser les rues n’importe comment, sans même regarder quoi que ce soit avant de s’engager, laissant l’automobiliste bien seul face à cette irresponsabilité.

C’est la nouvelle génération qui est en marche connectée au savoir comme jamais mais déconnectée de l’humain, connectée au monde mais déconnecté de sa proximité immédiate.