Cela ne réglera pas les problèmes de fond qu’il faudra bien un jour finir par prendre à bras le corps (autorité parentale, éducation Nationale, réseaux sociaux, emploi des jeunes, ségrégation territoriale) ) mais c’est une réponse à l’urgence que la société appelle.
Hier soir un adolescent de 16 ans à été poignardé à 19h00, place des cigalusas, rue Barla, à 100 mètres de ma permanence.
Peut être s’agit il d’un différent lié au trafic de stupéfiants. Et alors, cela mérite il de mourir à 16 ans.
16 ans à Nice, 14 ans, 15 ans en banlieue parisienne. Plus rien n’arrête la violence de ces jeunes de plus en plus précoce qui n’accordent plus de valeur à la vie.
C’ est insupportable de savoir que sa vie ne tienne qu’à un fil ce matin et nous ne pouvons pas laisser cette violence se banaliser.
Un couteau n’est pas un stylo.