Une fois de plus, cette information nous vient de la banlieue parisienne une fois de plus.
Dans certains quartiers, des jeunes de 12 ans sont frappés, humiliés, entraînés à la souffrance avant d’intégrer des bandes.
Pour le moment ce phénomène n’est pas signalé à Nice. Néanmoins je considère que la sujet doit être mis sur la table si l’on veut anticiper de telles dérives.
Les associations qui travaillent dans les quartiers ne sont pas outillées pour faire face à de tels débordements.
Notre proposition est la suivante :
Il faut mettre le cap sur la prévention et y mettre les moyens :
-prévoir un nouveau un plan de recrutement d’éducateurs pour suivre les familles ayant des difficultés avec leurs adolescents, normer, définir des quotas à d’enfants à suivre suffisamment pertinents pour être efficaces.
-une articulation avec un ilotage mixte Police nationale, police municipale.
-une articulation plus fine avec l’Éducation Nationale qui a un rôle fondamental dans le signalement (notamment les SEGPA) mais dont la mission n’est pas le suivi de ces adolescents souvent en échec scolaire.