La présidente de l’Unef a confirmé que des réunions non-mixtes entre femmes et entre personnes non-blanches avaient lieu au sein de l’organisation.
Comment ce syndicat qui, pendant des décennies, a été le principal syndicat étudiant, a formé des centaines de responsables syndicaux et politiques, a contribué au débat démocratique à t »il pu en arriver là ?
Il est temps que les militants de base reprennent la main si c’est possible, renouvellent leurs instances et remettent les valeurs républicaines au cœur de l’action syndicale étudiante.
Il faut mettre fin à ce naufrage.