Depuis des années Dominique Estrosi Sassone tente par tout les moyens, au Sénat, de trouver une solution pour aider les maires (et notamment celui de Nice) à échapper à la loi SRU qui fête cette année ses 20 ans.
Cette loi impose aux communes 20 à 25% de logements sociaux.
Le maître mot assouplir veut dire tout simplement déroger à telle ou telle disposition de la loi. C’est ainsi que sont désormais comptabilisés les logements étudiants par exemple.
Quant à l’objectif de mixité, de qui se moque t’elle alors qu’elle a été adjointe au logement et à la politique de la ville pendant 12 années et qu’elle avait déjà une partie de cette responsabilité sous le mandat de Jacques Peyrat.
Cette absence de mixité sociale qu’elle dénonce, c’est avant tout son bilan.