Solidarité, écologie en passant par l’éducation

C’est autour de ces priorités qu’Anne Hidalgo a décliné sa vision de la France hier à Lille hier pour son entrée en campagne.
1700 personnes présentes, c’est pas mal.
Elle ira jusqu’au bout ! C’est très bien sauf si sa parole est aussi fiable que lorsqu’elle avait juré, la main sur le cœur, ne pas être candidat à l’élection présidentielle…
Dans le volet économique et social, Anne Hidalgo a promis de mettre en place « une assurance-chômage universelle », ainsi qu’une revalorisation des salaires pour les « premiers de corvée ». Elle a aussi promis de généraliser l’encadrement des loyers dans les zones tendues ».
La candidate s’est également engagée sur des sujets de société. « Nous ouvrirons à celles et ceux qui le veulent le droit de mourir dans la dignité
Concernant l’éducation, la candidate socialiste a annoncé une rupture avec le quinquennat d’Emmanuel Macron : « Nous abrogerons Parcoursup », a t-elle promis au sujet de la très critiquée plateforme mise en place pour guider les apprentis et les étudiants dans leur choix.
La maire de Paris, a aussi montré son ambition concernant le dérèglement climatique. « Je serai pour cela la candidate de l’écologie des solutions », avant de fixer l’objectif de la « neutralité carbone en 2050 » en France. « Un ISF climatique pèsera sur les ménages aisés dont le patrimoine émet le plus de carbone ».
Anne Hidalgo a par ailleurs pris des engagements sur l’égalité femmes-hommes. « Je m’engage à ce qu’une loi de programmation sociale soit votée dès l’été 2022, pour atteindre l’égalité totale des salaires en cinq ans. Enfin, la candidate socialiste veut engager accorder le droit de vote à 16 ans.
Elle peut rassembler les socialistes dans un premier temps, la gauche ensuite ?