C’est la deuxième année que cette délibération est proposée. Elle nous présente concernant l’application de la loi Macron et le passage de cinq à douze dimanches.
J’avais déjà expliqué l’an dernier que cette délibération nous posait problème non pas sur un plan idéologique mais sur la manière dont vous elle était organisée ici. Je rappelle qu’on ne parle pas du périmètre touristique, qui lui relève d’autres procédés dérogatoires, mais du reste de la ville. Il y avait l’an passé six secteurs : l’ameublement, l’équipement des personnes, le bricolage, les bijouteries, les magasins populaires et le centre commercial Lingostière
Cette année on a rajouté cette année un 7ème secteur et ça ne manque pas de saveur, puisqu’il il s’agit de Nice One, le centre commercial où personne ne va les jours d’ouverture ordinaire.
Vu que les 5 branches et les deux centres commerciaux concernés ne choisissent pas les mêmes 12 dimanches, ce ne sont pas plus 12 dimanches qui sont impactés par l’application de cette loi dans Nice, mais 29 !
Nous sommes hors périmètre touristique, donc dans des « quartiers ». c’est véritablement un problème pour les consommateurs qui ont une intention d’achat un dimanche. Vont-ils savoir, dans leur quartier, si c’est le dimanche d’ouverture du bijoutier ou du magasin de bricolage ou tout autre commerce ? Il y a une absence de lisibilité totale.