C’était hier la journée du souvenir des victimes de la déportation. Je suis allé comme chaque année honorer ces hommes et ces femmes victimes de la barbarie nazie. Ils étaient prisonniers politiques, Juifs, tziganes, homosexuels, résistants.
Hier, plus que les autres années, en raison de la période que nous vivons et de la présence au second tour de l’élection présidentielle de l’extrême droite, il fallait être présent.
Dans ce contexte, les absences du maire et du président de la métropole ont été remarquées.