La libération du journaliste français Loup Bureau est une nouvelle dont on doit se réjouir en saluant au passage le travail de la diplomatie française et du gouvernement dans cette affaire.
Elle ne doit pas faire oublier qu’il reste des dizaines de journalistes emprisonnés en Turquie.
Les journalistes on peut les aimer, les détester, les craindre ou les chercher. Mais à chaque fois que l’on cherche à museler la presse, c’est la démocratie qui recule.