C’est une bien triste nouvelle qui est tombée ce matin. France Gall est morte.
Cette chanteuse a pendant 15 ans, dans les années 1975 à 1990, accompagné la majorité de mes trajets en voiture tant elle était présente sur les ondes.
Sa vie n’a pas été un long fleuve tranquille avec la mort de Michel Berger en 1992 et celle de Pauline en 1997.
Il restera d’elle l’interprétation d’un florilège de chansons populaires sur lesquelles plusieurs générations ont dansé pendant des étés et dont certaines sont devenues intemporelles.
Pour la génération de mes parents, France Gall c’est « poupée de cire, poupée de son », le grand prix de l’Eurovision 1965 et la période Gainsbourg
Pour ma génération, c’est la période Berger « La déclaration d’amour » (1974), « Si, maman, si » (1977), « Besoin d’amour » (1979), « Il jouait du piano debout » (1980), « Résiste » (1981), « Débranche » et « Hong Kong Star » (1984), « Calypso » et « Césanne peint » (1985), « Babacar » et « Ella, elle l’a » (1987), ou « Évidemment » (1988).
Aujourd’hui, C’est « au paradis blanc » auquel nous pensons tous…