C’est exactement ce qu’il s’est passé à la Faculté des Sciences mercredi dernier.
L’occupation de la « Fac » par une vingtaine de personnes qui ont eu des échanges (au moins verbaux) violents et qui ont commis des dégradations doit être condamnée sans ambiguïté.
Mais, que dire du président de l’Université, Jean Marc Gambodeau qui a très distinctement proféré des menaces vis-à-vis d’un des meneurs : « Toi là, toi. je te revois seul sur le campus, t’es mort! ».
Ce n’est pas forcément ce que l’on attend d’un personne qui, en cas de conflit, par sa responsabilité, doit rechercher la négociation et l’apaisement. Cette attitude n’est clairement pas à la hauteur de ses responsabilités et il devrait en tirer les conséquences.