Je l’avais demandé à plusieurs reprises et encore récemment à l’occasion de l’inauguration de la rue Charles Pasqua et Christian Estrosi m ‘en a donné acte.
Ils étaient 4 comme les mousquetaires parce qu’il faut rajouter le général Binoche et Jean Hugues Colonna.
Mais seuls Max Cavaglione et Pierre Joselet siégeaient au conseil municipal en septembre 1990 au moment de la fuite de Jacques Médecin en Uruguay.
Ils ont écrit un page d’histoire de notre ville.
L’ironie du sort fait que le même jour le conseil municipal attribue à la rue de l’opéra le nom de rue Jacques Médecin.
Il y a eu sur la salle une étrange ambiance, un sentiment que cette séance était un peu « un solde de tout compte » et qu’une page de l’histoire politique de notre ville se refermait.