J’étais invité, j’y suis allé, j’ai même dit mon mot alors que je ne suis pas un lecteur de l’humanité. Par contre je soutiens plus que jamais la presse écrite, les journalistes de la presse écrite.
La diminution des subventions de l’État, la diminution du nombre de militants, le retard dans le virage numérique, la réticence à une recapitalisation qui pourrait peser sur la ligne éditoriale, les raisons des difficultés financières de » l’humanité » ne manquent pas mais ce n’est pas l’essentiel.
La démocratie a besoin du pluralisme de la presse car à chaque fois qu’un titre meurt, c’est la démocratie qui recule.
Comme ne le disait pas Voltaire « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire ».