C’était il y a 51 ans, le 11 septembre 1968, la caravelle Ajaccio Nice arrivait au large d’Antibes quand soudainement elle s’abimait en mer sans explication rationnelle. 95 personnes ont perdu la vie.
Depuis des années une thèse circule. L’avion aurait été abattu par erreur par un tir de missile.
Depuis 51 ans la douleur est présente, chaque année, elle s’exprime lors de la commémoration qui se déroule au mémorial de Ferber. Cette douleur ne pourra s’apaiser que si la vérité triomphe.
Les maires de Nice et Ajaccio ne disent pas autre chose dans la tribune qu’ils ont co-signée.
Je salue la décision du président Macron qui a demandé à la ministre des armées, Florence Parly, de saisir la commission de la défense nationale, dernière étape avant la levée du secret défense.
On saura donc peut être bientôt la vérité. La nation la doit aux familles des victimes et s’en grandirait si cette thèse s’avérait juste.