Trois heures furent nécessaires pour saluer tout ces acteurs essentiels de la vie associative qui contribuent à rendre meilleur le quotidien de ceux qui ont besoin de la solidarité pour lutter contre l’inégalité de leur condition.
Un temps si long parce que nous avions des choses à nous dire et que je devais leur dire à quel point je compte sur elles pour apaiser la ville et évoquer aussi leur manque de moyens face à des besoins qui ne cessent de croître.
D’apaisement il en a notamment été question au stand d’accueil femmes solidarité où le décompte s’est encore alourdi (104 féminicides) ou à celui du refuge, bien accompagné par la ville pour remettre en selle des jeunes homosexuels rejetés par les familles.
Aux resto du cœur et à la banque alimentaire on a évoqué les maraudes dont la mairie ne simplifié pas la tâche, mais aussi les besoins croissants.
Le liste est longue.