J’y suis allé comme je l’avais promis Place Masséna à Nice.
Parce que les bénévoles d’handicap International méritent notre soutien.
Parce qu’on ne peut pas se résoudre à voir mourir chaque jours 32 personnes, surtout des enfants piégés par ces armes sales ou bombardés.
Parce que partout dans le monde, on ne peut se résoudre à voir ces êtres humains vivants mais amputés. Il n’y a pas de fatalité.