Je mesure pleinement la responsabilité supplémentaire que me donne la puissance de « l’appel des 400 pour Nice », venu de la société civile, et qui est en train de s’amplifier.
Je dis à ses initiateurs que j’y suis sensible, qu’il s’agit d’un encouragement précieux, que je leur répondrai rapidement et que je ne me déroberai pas.
Cet appel montre aussi à quel point cette gauche sympathisante, investie dans les syndicats, les associations, non engagée dans les partis politiques, est désireuse d’unité et de rassemblement.
Cela fait un moment que j’ai acquis cette certitude. Ce sont les citoyens qui partagent nos valeurs et qui sont lassés de les voir piétinées par un libéralisme triomphant, qui vont montrer le chemin aux forces de gauche et de progrès et plus généralement aux Niçoises et Niçois qui souhaitent une autre alternative à Christian Estrosi que celle proposée par l’extrême droite.
Patrick Allemand