Même si la décision est bien comprise et si nous sommes tous solidaires de Marie-louise Gourdon, c’est un crève cœur de voir le travail de toute une année de cette formidable équipe réduit à néant.
D’autant que ce Festival du livre ne se réduit pas à cela et demeure pour l’ensemble des progressistes de Nice et de la région un lieu de retrouvailles amicales et d’échanges.