Ce dossier, complexe, a fait l’objet de débats passionnés dans l’enceinte du Conseil municipal et notamment d’une vive opposition de la part de Dominique Boy Mottard désormais silencieuse.
Il y avait eu une vive polémique, puisque la réalisation du projet avait été également liée à la libération d’une partie des lieux,, occupée par une association maçonnique qui jouissait gratuitement d’un bail de longue durée.
Pour que l’association y renonce, la Ville avait dû la reloger dans une villa appartenant à la municipalité. Une histoire comme on en voit qu’à Nice.
Sur le front des recours, les riverains du Vieux Nice regroupés au sein de l’association Rey-Serruriers, opposés à ce projet, ont perdu l’ultime manche de leur bataille devant la justice : le permis, accordé par la mairie en 2016, est définitivement validé.